M. BOERLAGE. - Mossieum, j'ai l'honnelur et le sage peut être raisonnbe et utilisee à notre volonté. Par plaisir d'ouvrir la séance de ce matin .o'Ù nolm ferons ailleurs, le choix des lubrifiants s'est precisé, leur pré- une étude sur les lubrifiants. paration, leur raffinage se sont perkctionnés et les en-Si j'ai accep1.é cette tache, ce n'a pas ete sans hésita- traves de l'altérabilité ont été peu a peu surmontees. tion. Mais la préserice de M. Woog que vous connaissez Enfin, la création de lubrifiants par synthkse a &té réatous m'#a, rassu.ré et m'a rmdu possible cette mission. lisée et ces produits nouveaux sonit entrks dans la 'psa - Je dois vous dire tout de suite qu'il y aura un grand tique, venant, une fois: eiicoI e, affirmer l'exactitude des n'ombre de cmnmunimtions; il y en a quatorze exacte- conceptions théoriques. ment. Comme hier, il ïaudra donc que nous limitions le Cette brillante avmce nimyue-t-elle le sommet des temps accordé à la discussion qui suivra c, hacune de techniques du graissage ? Nous ne le pensons pas. ces conmunications. Nous pourrons, tout au plus consa- Bien des domaines restent encolre à explorer, aussi bien crelr dix minutes, à chaque communication. du, coté théorique que du cdté pratique. La science du J e dois ajouter que M. Woog et moi-ni&me, sertont obli- graissage s'aciiemine vers des solutions dont l'efficagés de quitier cettie séance U une heure tres exacte, cité grandira et vers la résolution de probkmies mu - parce qu'il y a un déjeuner officiel au, quel nous devons veaux: le consitructeur de riloteurs ne demande-t-il pas assister. Vous nous excuserez donc si, à un moment le moyen d'assurer le glissemmt de pièces portkes à des donnd?, n'o'us levons la skance un peu brusquemenf; tenipératures extrèniement élevées ? la lubrification par Je donne la parole maintenant à M. Woog pour l'in- les gaz a-bella domé tous les Irésultats passibles T la troduction & son rapport (Applaudissements.) transfcrmation des surfaces a-t-elle é4é mise U SSIX A - contribution ? quels résultats apporteront les lubrifiants M. WOW. Messieurs, je veux tont d'abord remer- à molécules volumineuses ou savamment construites ? cier M. le Présrdent Bda, ge des aimables paroles qu'il Des progrès s'a, ccompliront certainement. a bien voulu dire à mon égard. Je souhaite bien vivement que oeL ne rende pas Mais, pour envisager correctement les problèmes du mai tâche de rapporteur trop difficile. graissage, il est nbcesqaire de les examiner dans leur ensemble et de considérer M.. WOO^ donne lecture, de l'introdwction suivante le point de vue physic&: chimique aussi bien que ce
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ETUDES DES LUBRIFANTS
M. Boerlage;
M. Boerlage
Chef du Laboratoire d'essais de moteurs de la Royal Dutch a Delft
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M. P. Woog
M. P. Woog
Directeur du Laboratoire Central de la Compagnie Francais de Raffinage
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Paper presented at the 2nd World Petroleum Congress, Paris, France, June 1937.
Paper Number:
WPC-2304
Published:
June 14 1937
Citation
Boerlage, M., and M. P. Woog. "ETUDES DES LUBRIFANTS." Paper presented at the 2nd World Petroleum Congress, Paris, France, June 1937.
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